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23/12/2013

Samedi 21/12/13 AM, course à pieds seuil

Après deux jours de repos, je suis frais et dispo pour me refaire une sortie dure: là, j' ai fait un gros bloc au seuil (entre 165 et 175 bpm) de 49', bien! Malgré la difficulté de la séance, j' ai eu du plaisir à courir, signe que je ne sature pas!

1h31, 156 bpm moy, 176 bpm max.

Mercredi 18/12/13 AM, course à pied longue sortie

Je serais bien allé marcher, mais pour cela il m' aurait fallut au moins 3h30, et ces 3h30, je ne les avais pas; avec les journées courtes ce n' est pas facile de tout caser...

Cette sortie est à peu près bien "passée", avec de la fatigue cependant lors des 45' dernières, le "métier" de coureur au long cours n' est pas encore rentré... c' est fou comme une sortie cap de 2h30 est plus fatigante qu' une sortie vélo, à intensité comparable bien sur, de même durée... Il faut dire aussi que ça fait cinq jours consécutifs que je cours, ça joue sans doute aussi...

2h27, 138 bpm moy, 149 bpm max.

Mardi 17/12/13 PM, course à pied VMA

Cette semaine, j' ai prévu me faire une semaine assez dure; mardi dernier, j' ai donc fait un bloc de 12'30 de frac, qui se décompose comme suit: 5 séries en 30"-30", suivies d' une dernière série de 1'30 (dur!).

Je trouve quand même que le 30"-30", c' est moins dur que le 1'-1', et ça laisse sans doute un peu moins de traces.

1h01, 150 bpm moy, 181 bpm max. 

16/12/2013

Lundi 16/12/13 AM, course à pied endurance

Aujourd' hui pas de sortie longue, on "cure" les chèvres.

Ce matin, après avoir nourri les bêtes en question et être allé conduire Paul à l' école, j' ai fait quelques factures. Ensuite, je suis allé cherché une benne à la CUMA du village (société de matériel en commun) pour le chantier de cet aprem. Avant de manger, j' ai pu caser une petite sortie cap, et après manger, j' ai pu caser aussi une sièste (20') sur le canapé. Je me suis réveillé bien reposé, prêt pour un après midi "enlèvement de fumier". Et ce soir, j' ai ma dose, même si on ne fait que les recoins à la main, le reste est fait avec un Bobcat par un entrepreneur!

0h32, 143 bpm moy, 152 bpm max.

Bilan dela semaine: récup

Comme prévu, petite semaine. Voici les détails:

-mardi 10/12 AM, ht récup,0h45, 106 bpm moy, 112 bpm max; le soir, escalade (une grosse heure avec des coupures): j' ai passé une voie sur laquelle je m' étais énervé la semaine dernière, bien;

-jeudi 12/12 AM, ht endurance, 0h45, 119 bpm moy, 130 bpm max;

-samedi 14/12 PM, cap endurance, 1h04, 146 bpm moy, 166 bpm max; puls hautes, ça c' est l' effet "frais comme un gardon"!

-dimanche 15/12 PM, cap endurance avec Paul dans la poussette, 0h37, 144 bpm moy, 153 bpm max, et environ 0h30 de sièste pour Paul!

Soit un total de 3h11, plus la séance d' escalade. Je trouve que j' ai bien récupéré du Trail de l' Igue, il faut dire que l' on récupère mieux d' un effort bref et intense, que d' un effort long et plus "dilué", qui a tendance à fatiguer plus en profondeur. Il faut dire aussi que j' ai tari les chèvres en début de semaine, et que je travaille moins en ce moment, c' est sur que ça se ressent sur mon état de fraîcheur.

12/12/2013

Mardi 10/12/13 AM, home trainer récup

Deux raisons pour monter sur le home trainer:

-mon organisme n' a pas encore "réparé" les micros lésions de ma course de dimanche, alors inutile d' aller s' obstiner à courir;

-il fait froid dehors, et oui c' est l'hiver, et c' est une bonne chose de ne pas faire toutes les séances dehors, pour ne pas s' enrhûmer.

Séance "quiquille", mes puls sont qunad même basses, mais rien de plus normal, je me suis dépouillé dimanche.

0h45, 106 bpm moy, 112 bpm max.

Bilan de la semaine: content ou pas content?

Pour tout avouer, je n' ai pas assez l' esprit de compèt (heureusement pour moi, sinon bonjour les déceptions!) pour être déçu par un classement " pas aux avants-postes". Je me focalise plus sur le temps réalisé, et une heure et quart sur ce parcours, je trouve que c' est correct, même si l' on peut toujours rajouter des "si et si", et se trouver des excuses pour ne pas avoir accéléré sur la fin par exemple. Ce que je retiens, c' est que j' ai fait de mon mieux, avec ma forme du moment, donc pas de regret.

Ce qui me fait penser que j' ai une petite marge de progression sur ce format, c' est que je ne suis pas un habitué du genre, et que pour "choper" le rythme, il faut faire quelques courses. Je pense donc qu' à la fin de l' hiver, mon niveau en CAP format court devrait s' être amélioré un peu!

Volume de la semaine: 6h52, dont 0h45 de HT, beaucoup de cap pour moi (trop?); plus une séance d' escalade mardi soir: ça fait deux séances où je ne passe rien, c' est un peu décourageant, mais ça serait trop simple si on progressait de manière linéaire et sans effort!

La semaine prochaine: allègement du volume et pas d' intensité, avant de recommencer à forcer en vue des 15 km de Naussanes.

Résultats des courses

Voici les résultats du Trail de l' Igue, 14 et 26 km.

 

http://www.runningtrail.fr/resultats/trail-de-l-igue-1213...

 

11/12/2013

Petit CR pour petite course: le trail de l' Igue version petit parcours

Que c' est dur le court!

Cela faisait presque un an, depuis le 15 km de Naussanes en fait (que j' ai prévu de refaire cette année, le 29/12), que je n' avais pas participé à une course de ce format, et je dois dire que j' ai souffert, même si au final et avec un tout petit peu de recul, le plaisir l' emporte largement. Voici un petit résumé.

Nous sommes partis à trois de Vayrac: Christophe, avec qui j' ai déjà couru le trail des Césarines (voir CR dans la rubrique course!), Eric, un copain de Christophe, et moi, par une température de -3°C et un grand soleil. Beau temps pour courir!

Arrivés vers 10 H00, on s' inscrit, on s' échauffe, et nous en profitons avec Christophe pour aller reconnaître l' arrivée, en sens inverse bien sur. Nous remontons jusqu' à la fameuse igue, superbe gouffre, typique des causses calcaires, que le parcours contourne; l' occasion pour nous d' admirer cet endroit magnifique, mais aussi d' emprunter la descente finale, pas évidente à négocier pour la première partie, car jonchée de grosses marches rendues glissantes par la gelée blanche. Pour moi, l' échauffement durera 24'.

11h00, c' est le départ; nous tournons quelques centaines de mètres sur une presqu' île au bord du Lot, puis première (et peut-être la plus grosse) difficulté du jour, une grosse côte raide en lacets, parcemée de bonnes marches, où l' on court (un peu) et marche (beaucoup). Je colle Christophe qui me sert de lièvre, double quand il double, j' ai le souffle court, mais tout le monde autour de nous souffle aussi, tout est normal donc. Un peu de plat, je prends un relais, puis nous abordons une descente "droit dans la pente", dans les gravats; ça file, je ne me pose pas de questions, j' emboîte le pas à celui qui me précède, et j' essaie de rester debout. Avec difficulté d' ailleurs, puique je vais au tapis une fois, mais "rebondis" aussitôt, et me retrouve sur mes pattes aussi vite que je suis tombé, je ne sais pas trop comment en fait. Christophe l' expliquerait sans doute mieux, il était juste derrière! Par curiosité, je regarde le cardio arrivé en bas, il indique 175 bpm, zéro récup!

Hop, on regrimpe, petite foulée et toujours souffle court pour moi, je souffre, et je ne me sens pas au mieux, j' ai le bide un peu en vrac à cause de la violence de l' effort, l' idée d' abandonner me traverse même l' esprit "pour arrêter de souffrir". Enfin me traverse seulement, j' en ai vu d' autres! Premier ravito, je suis toujours avec Christophe, il s' arrête, moi non, je suis incapable d' avaler quoi que ce soit. Je me dis qu' il recollera, lui le "spécialiste" de l' effort court. 

On enchaîne les côtes et les descentes, tantôt sur chemin large, souvent à flanc de côteau, jusqu' au second ravito, en fond de combe. Je m' arrête, bois un verre d' eau (glacée!), prends une patte de fruit, puis repars en compagnie de Christophe qui en a profité pour me rejoindre. Cette patte de fruit, je mettrai toute la côte d' après à l' avaler, ça ne veut toujours pas passer!

Les minutes passent, on nous annonce à 2km de l' arrivée, et à ce moment précis, j' avoue que je ne savoure pas l' instant présent: mes jambes m' abandonnent, j' ai le ventre en travers, bref je commence à être mal. En haut de la dernière côte (on est toujours un groupe de 5-6), Christophe se met à parler, à plaisanter même! Là il m' étonne vraiment, et pour moi c' est un peu le coup de grâce! ça y est, je reconnais la fin du parcours, on arrive à l' igue et à la descente finale. Je négocie la partie la plus technique comme je peux et manque d' aller au tas une deuxième fois, pendant que mon Christophe s' envole. On arrive sur le goudron, puis dans le village, je suis à la queue du petit peloton que l' on avait formé, on franchit la ligne, je peux enfin couper mon effort! Je félicite mon camarade, 19ème, perso je fais 24 ième, alors qu' il doit y avoir 30" d' écart entre nous deux! On se réchauffe avec une bonne soupe chaude (ils savent recevoir à Crégols!), et on rentre en petit footing à la voiture pour mettre des vêtements secs! 

Christophe et moi mettons 1h14 (mes stats: 174 bpm moy et 182 bpm max: excellent entrainement), et Eric arrive en 1h26. Super matinée, à l' année prochaine Crégols!

A noter, le premier est un petit jeune, un cadet, qui finit en 1h01 et met 4' au deuxième, de la graine de champion! 

Nb: je mets les résultats en lien sans tarder, mais là il est tard, en plus je reviens de l' escalade, alors bonne nuit.

05/12/2013

Jeudi 5/12/13 AM, course à pied fartlek

Pour cette dernière séance avant la course de dimanche, je voulais forcer un peu pour voir mon état de récupération, sans me mettre minable, car j' ai été fatigué la semaine dernière; j' ai donc opté pour une sortie fartlek, aux sensations, sans en faire trop. En fait, j' un peu forcé sur le rocher de Lambard: la pente est très raide, on n' y court pas, et on escalade un peu par moments (le pied). En haut, j' étais à 168 bpm, et les "grosses cuisses".

Puis j' ai accéléré un peu plus tard dans une descente raide et assez technique qui redescend sur Vayrac, en bas de la descente j' étais aussi à 168 (c' est l' éclate d' envoyer dans des descentes un peu chaudes). J' ai remonté cette côte en marchant sur les parties les plus raides, et j' ai terminé la sortie par une bonne demi heure de plat.

Les sensations: je me suis trouvé plutôt en cannes, et surtout, j' ai eu du plaisir à courir!

1h48, 144 bpm moy, 168 bpm max.