Samedi 23/02/13 soir, CAP endurance

Hier en début de soirée, entre chien et loup, petite sortie de 0h36 par des températures négatives. Le week end était annoncé froid, il l' est, il a du faire 1°C en journée, et il en sera de même demain et après demain. Ne nous plaignons pas d' avoir un vrai hiver!

Chevreaux, les photos, enfin!

Depuis que je le promets, je trouve enfin le temps de me poser un peu en ce dimanche froid et un peu comateux, encore bon anniversaire Marielle, on a passé une très bonne soirée! La soirée été déguisée et sur le thème des années 80, je ne mettrai pas en ligne les photos, je peux juste vous dire qu' on avait la classe!

Mais revenons à nos moutons, heu pardon nos chèvres! Une quarantaine de mises bas sur une cinquantaine de prévues, le gros est passé, ce fut bien groupé, comme d' habitude. il n' y a pas eu de problème majeur, les petits sont vigoureux, les mères ont bien récupéré, et les chevriers (Xavier et moi) aussi!

Les mamans vont bien, merci pour elles...!                    

... leurs petits et notre petit aussi!

Et glou et glou et glou!!

Jeudi 21/02/13 PM, VTT

Reprise du vélo, je n' avais pas roulé depuis le 25/01.

Comme à chaque fois que j' arrète le vélo pendant un petit moment, tout en maintenant des sorties CAP, je constate une bonne perte de puissance au niveau des cuisses (quadriceps), par contre je souffle peu. Cela confirme le sentiment de beaucoup de coureurs-cyclistes: la course à pied et un sport plus cardiaque que la course à pied, et moins musculaire.

Il m' est arrivé de couper complètement la CAP pour ne pratiquer que le vélo, et à la reprise ce fut une autre paire de manches: grosses courbatures le lendemain, et oui, solliciter ses muscles de manière excentrique, alors qu' en vélo on les sollicite de manière quasi-exclusivement de manière concentrique (pas de réceptions), ça ne s' improvise pas!

Moralité: il est plus facile de passer de la CAP au vélo que du vélo à la CAP.

Hier, beau temps ensoleillé et froid, sur chemins secs, Gluges- Montvalent-Meyronne-mont Mercou-Martel-St Michel, quelques bons raidillons, qui me font monter le coeur brûler les cuisses, et un portage pour me hisser en haut du Mont Mercou, 2h27 à 139 puls moy et 167 puls max.

Lundi 18/02/13 PM, CAP endurance

Hier après midi, je voulais aller rouler 3h30 à vtt, mais pas le temps, alors je décide d' aller courir 2h30. Ce n' est pas souvent que je cours aussi longtemps à l' entrainement, je parts donc "quiquille". 

Direction Gluges par la route, puis je prends le sentier botanique qui mène à Martel, avant de rentrer, par les chemin aussi, en passant par Strenquels. Je me permets même d' accélérer un peu sur la fin, car je suis bien. Super temps, ciel bleu azur, pas un nuage; plaisir à courir, je finis pas trop ruiné, malgré deux ou trois passages un peu à vide.

Bilan: 2h28 à 142 puls moy et 160 puls max.

Dimanche 17/02/13 PM, balade avec Paul

Dimanche aprem, temps magnifique, toute cette lumière ça fait un bien fou, c' est vrai qu' on en a tous besoin!

Gaëligue vaque à des occupations prévues depuis un petit moment, c' est donc seul en compagnie de mon petit Paul que je vais me promener, et il en a visiblement sacrément besoin lui aussi, il "chouine" depuis le matin! On se demande d' ailleurs s' il ne "couve" pas quelque chose.

En plus, on a un prétexte pour sortir: pour son école, on doit collecter dans la nature de quoi fabriquer des monstres. On (enfin plutôt je) ramasse pas mal de mousse, les brindilles mortes (qui feront peut-être de belles cornes), des feuilles de lierre et des boules de pin, provenant d' une branche à terre. Je fais sentir à Paul l' odeur de la sève de résineux, il trouve que ça sent bon et veut en manger, je lui explique que "c' est pas bon"...

Il commence à se dérider quand je monte et descends un petit talut en courant, il se met à faire pareil, et quand je me mets à monter sur un arbre (un vieux chêne aux branches bien torturées), là il est carrément hilare! Rien que pour ça la balade vaut le coup! Sans parler du but principal de la sortie: lui faire appécier la nature, les choses simples, à portée de main et gratuites...

Superbe maison inhabitée et dans un super état, "dans son jus", entourée d'un joli parterre de perce neiges. 

j'habite dans cette vallée.

Paul, un peu patraque.

Bilan de la semaine

Deuxième semaine de "reprise", seulement en CAP (c' est rare), et un volume relativement faible.

Je remets "le pied à l'étrier" en forçant sur un petit bloc de 17' au seuil, avant de durcir un peu la semaine prochaine, toujours en y allant progressivement, quitte à ne pas être "au top" pour le trail des Césarines mi-mars. Je confirme: je me lance sur le 23 km.

L' inconnue pour la semaine prochaine: comment vais-je "caser" mes séances, car dans les prochains jours je vais avoir du taf: poursuite des mises-bas, mise en place de la transformation fromagère et début des livraisons et marchés. Heureusement, Xavier (mon employé à temps partiel) est là et assure!

Dimanche 17/02/13 AM, CAP endurance

Dimanche matin, aller-retour le Puy de Toul, aller en côte et retour en... descente!

Sensations pas top, peut-être parce que je suis encore sur la digestion du petit déj...

0h30 à 144 puls moy et 155 puls max.

Vendredi 15/02/13 PM, seuil en CAP: Y A DU BOULOT!

Hier aprem, j' ai voulu me tester un petit peu, avant de reprendre des séances dures la semaine prochaine: 17' au seuil anaérobie, sur le plat (vallée de la tourmente) et côte (Loulié-rocher de Lambard).

Voici mes impressions, et ce que j' en retire: je suis facilement et rapidement monté à plus de 170 puls/min, tout en ayant la sensation de "me trainer"; cela prouve que je suis désentrainé. Je le savais déjà, mais le constat devient vraiment flagrant en évoluant à une allure soutenue. En "appuyant" un peu plus, je suis monté et me suis maintenu à 175 puls/min, ce qui prouve mon bon état de fraicheur (capacité à faire monter le coeur), mais cela montre également que mon coeur a perdu en inertie, et ça c' est un signe de manque de forme. 

De toutes manières, le contraire serait étonnant: je n' ai pas fait de sortie dure depuis le 19/01/13, soit près d' un mois, et j' ai coupé entre temps une dizaine de jours.

Point positif: quand j' ai coupé l' effort pour revenir à un rythme plus cool, je n' étais pas "mort", j' aurais pu continuer, mais je m' en suis tenu là car je ne veux pas brûler les étapes, et respecter la règle d' or de la progressivité en matière d' entrainement. Laisser la forme revenir doucement...

Autre point psitif: si ma douleur intercostale me gène toujours pour certaines tâches de la vie quotidienne,  comme par exemple bouger une balle de foin, elle ne m' a pas géné à haute intensité en CAP; ça s' arrange, même s' il n' est toujours pas qestion que je reprenne les séances d' escalade.

Bilan de la sortie: 1h31 à 152 puls moy, 175 puls max, et un bloc de 17' au seuil.

Mercredi 13/02/13 AM, CAP endurance

Aujourd' hui, sortie sur le thème du dénivelé; j' estime que j' ai cumulé environ 600 M D+ en 1h30, ce n' est pas un exploit, mais c' est déjà pas mal.

Montée par les bois direction le Chateau de Blanat, redescente sur Maraval par un chemin en bourbier, quasi impossible de descendre en courant sans aller à la chute tellement on ne peut prendre appui nulle part, remontée par la route direction Vayrac (je décrotte les chaussures), puis redescente direction Vayrac par le sentier Ludique (bien boueux et glissant lui aussi) sous le Puy d' Issolud, avant d' être stoppé par un gros chêne qui était suspendu sur le talut et qui n' a pas supporté les pluies abondantes de ces derniers jours. Le branchage enchevétré obstrue le sentier sur plusieurs mètres. Remontée (c' est raide) puis montée en haut du Puy d' Issolud par la route, descente par le même endroit, puis remontée en haut par le Portail de Rome, après quoi j' "explore" le versant Ouest du Puy par des "traces de sangliers" (juste sous chez toi Guillaume!). J' explore, oui, mais pas trop longtemps quand même, parce que le proprio du coin est un peu "furax" et ne veut voir personne "sur ses terres", je n' ai pas très envie d' être accueuilli au fusil...

Redescente par le même sentier, puis fin de la descente par Loulié et par la route dans la vallée de la Tourmente, avant de remonter sur le versant opposé (Strenquels). Dernière descente, me voilà dans la plaine de St Michel, encore 1,5 km et me voilà rentré au bercail.

Bilan: 1h32 à 144 puls/min moy et 166 puls/min max.

Lundi 11/02/13 PM, CAP endurance

Le rythme des mises-bas marque une petite accalmie, on se dirige vers la fin de la première vague, le plus gros du troupeau. Trente-et-une mises-bas en six jours (sur un cinquantaine de prévues), ce fut grouppé, comme d' habitude.

Hier aprem, sortie en endurance, assez accidentée, sur chemins bien glissants par endoits, c' est rigolot, et à pied, on a l' énorme avantage de ne pas rentrer crépi comme à vtt! 

Pas grand chose à signaler, hormis les pulsations qui retrouvent des valeurs "normales", je monte la plus grosse côte de la journée (butte pour monter sur le causse de Martel par Strenquels, assez droit dans la pente, environ 150 M D+) à plus ou moins 150 puls/min, en évitant de me faire mal aux jambes, jambes que je trouve lourdes d' ailleurs, à mon avis à cause de la petite sortie d' hier. Mais rien de grave. Je me fais plaisir dans la dernière descente (la même que celle décrite un peu plus haut mais en sens inverse!) en laissant un peu la gravité faire son oeuvre.

Donc: 1h30 à 148 puls moy et 160 puls max.