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19/12/2020

Petit point post confinement!

Bon, nous sommes, pour l'instant, sortis des restrictions concernant notre pratique sportive en extérieur; et comme beaucoup, je revis.

A la différence du premier où, je le répète, je n'avais quasiment pas le temps de faire du sport, lors de ce deuxième confinement, j'ai continué l'entrainement. Pas mal de course à pied, côté pratique oblige, mais aussi VTT, et enfin, nouveauté chez moi, gainage. Je ne dirais pas que j'"aime" ça, mais je commence à y trouver comme une forme de plaisir. Si je continue cependant c'est parce que je sais que c'est bénéfique! Je crois avoir trouvé la formule qui me convient: sur des cessions de 15'. Ainsi j'ai le temps de me "faire mal", sans y aller trop à reculons non plus... Je me suis fixé un objectif de deux-trois fois par semaine, alterné avec des séances de 15' elles aussi, d'étirements. On en reparle dans quelques semaines pour voir s'y j'ai pris le plis...

La semaine dernière, semaine 49, était une semaine de repos relatif (et grosse semaine de travail):

- Jeudi 10/12: CAP endurance (le soir, de nuit, sur route). 1h04.

- Samedi 12/12: le matin à jeun, alors que toute la maison dormait, 0h42 gainage (exercices de planche et quelques pompes), + étirements pour faire l'heure. Trop long, dégoutant pour moi! 

- Samedi 12/12: le soir, en partie de nuit, 1h01 de CAP en mode endurance et sur route.

- Dimanche 13/12 au matin: 2H52 de VTT sur mon causse. Sortie ponctuellement intense dans les côtes raides et techniques. Dur, je constate l'étendue du travail qu'il me reste à accomplir pour commencer à parler d'état de forme! Ce que je retiens aussi de cette sortie, c'est le plaisir associé. 

Cette semaine, encore inachevée, est plus costaude et ressemble à quelque chose de sérieux, tout du moins au niveau volume. Je poste un récap en début de semaine prochaine, à titre de comparaison. Pour ce qui est de l'intensité, j'ai commencé lorsque nous étions confinés, en CAP; et je vais en intégrer à vélo aussi, mais surtout globalement, de manière plus studieuse et régulière. Car je le sens, depuis ma reprise progressive de cet été, je commence à avoir une base foncière. Pour rappel, je reviens de loin, avec une année 2019-2020 de quasi non sportif...  

25/10/2020

Belle semaine

Après un mois de Juillet sous le signe de la reprise du sport en mode course à pied seulement, un mois d'Août et de septembre marqués par la reprise du vélo, me voilà vraisemblablement sur les rails pour reprendre un entrainement conséquent. Je suis encore loin de mon objectif "foforme", mais je commence à enquiller quelques séances assez dures, quelques séances assez longues à vélo... Par exemple ma sortie vélo de route du lundi 14/10 de 2h22, avec 32' au seuil dans la côte de La maison rouge. Celle côte je l'aime, car on passe de 200 mètres d'altitude au pied à environ 600 en haut, donc 400 D+, pas si fréquent que ça dans mon coin du Haut Quercy. En plus elle ne monte pas trop raide, mais longtemps, donc parfait pour l'effort au seuil. Par contre, je me rends compte du boulot qui est devant moi: lorsque j'étais "bien", je mettais plus ou moins 22' pour la gravir à intensité seuil. La semaine dernière, 10' de plus! Bon il faut bien repartir de quelque part, au moins je suis fixé...

Cette semaine (42), de trois séances depuis Juillet (un vrai métronome, en parcourant mon carnet d'entrainement: pas une de plus pas une de moins chaque semaine), je suis passé à quatre. Deux en CAP et deux à VTT. Voici le détail.

- Mardi 21/10 à la mi journée: CAP endurance, 1h30. Je comptais placer un bloc au seuil mais je me suis vite ravisé, voyant que même à 130 bpm j'avais mal aux jambes! La faute, peut-être, à une sortie longue à VTT samedi aprem, un peu trop appuyée. Trois jours plus tard je la sens encore... 

- Mercredi 22/10 AM: VTT endurance, 2h27. bonnes sensations, en fin de sortie je rentre même un gros raidard sur le vélo avec peu d'adhérence que je passe habituellement lorsque je suis bien; les jours se suivent et ne se ressemblent pas! Pour autant je me suis employé à ne forcer que ponctuellement, fatigue d'hier oblige.

- Jeudi 23/10 AM: CAP endurance, 1h27. Sortie sur le plat, allure footing. Mollets qui tirent. Et plus tôt dans la matinée, au lever, a jeun, 27' de gainage.

- Ce matin dimanche 26/10: 3h32 de VTT, entre branceilles, Curemonte, St Basille De Meyssac, côte de La Maison Rouge, Serilhac, à explorer des chemins inconnus... Très belle balade, gros plaisir, bon signe 

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La semaine prochaine je suis en vacances, je vais donc en profiter, entre deux préparations de cours et deux séances de maçonnerie "bergerie", pour pas mal m'entraîner! 

On fait le point dans une semaine...

04/10/2020

Tête et jambes plus disponibles

Les douze mois qui viennent de s'écouler ne m'ont pas, mais alors vraiment pas, laissé de place pour envisager de pratiquer ce qu'on pourrait appeler un entrainement sportif, même léger. 

Classique, en sont résultés un état psychologique "vaseux", et au fur et à mesure que ma forme physique se dégradait, allant de paire avec un tour de taille en progression lui :-( , je me sentais de plus en plus mal dans mon corps... Pas de scoop ici, la tête et le corps sont liés...

Depuis le mois de Juillet, j'ai repris une activité physique régulière. Manquent plus que les cinq fruits et légumes par jour et à moi le profil du type bien sous tous rapports... Blague à part, cela a signifié chez moi, depuis cet été et jusqu'à aujourd'hui, environ trois sorties hebdos de plus ou moins 1h30 en course à pied. Quelques séries plus dures fin Août et septembre, avec un début de sensations positives dernièrement. Et, grand évènement: l'achat d'un nouveau VTT, après un an et demi sans avoir pratiqué! J'ai exactement huit sorties vélo au compteur, d'une durée allant de 2h30 à 3h30 (6 vtt et 2 route), depuis la mi Août, en remplacement à chaque fois d'une séance CAP. Je renoue un peu avec la bicyclette, moi qui me suis toujours perçu comme un cycliste qui court plutôt qu'un coureur qui fait du vélo... Du plus loin que je me souvienne je suis sur un vélo. Mes photos d'enfance en témoignent, je suis un coup sur un vieux biclou qu'une cousine m'a donné, un coup sur un BMX qu'on copain de voulait plus, un coup sur un vélo "demi course" que ma grand mère m'a acheté... Ce qui explique certainement que lorsque j'enfourche une bicyclette, j'ai le sentiment de revenir un peu en enfance... 

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A partir du mois d'octobre, je vais durcir un peu tout ça. Maintenant que mon organisme recommence à encaisser les sorties endurance, puis les sorties un peu plus dures, je compte augmenter la fréquence progressivement, et mettre un peu plus d'intensité. Ensuite viendra la notion de cycle d'entrainement, de programmation... Pour, pourquoi pas, osons fantasmer et croire que la situation sanitaire va s'améliorer, planifier une saison 2021!

Le vélo? Demain j'ai prévu une sortie route assez longue d'environ 3h30, ensuite il est possible que je me centre presque exclusivement à nouveau sur la CAP, avec des sorties d'1h30 "seulement", mais plus fréquentes. Ça sera peut-être plus adapté à la saison fraîche, humide, sombre... dans laquelle nous avons basculé subitement ces derniers jours! Je posterai de temps en temps le contenu de mes semaines, avec mes séances détaillées (thème, intensités...). Il faudra juste que je veille à ne pas m'enflammer trop vite: je ne dois pas oublier que je viens de vivre une année de quasi sédentaire, que j'ai des kilos à perdre... Objectif récupérer un corps qui "répond", à 43 ans! Equation à plusieurs inconnues, avec pas mal de facteurs limitants!

26/03/2018

Brive Rocamadour, la suite quelques jours après...°

Je prends enfin le temps de me remettre au clavier pour finir mon CR entamé voici quelques jours...

C'est sous un ciel couvert et une température peu engageante que nous nous élançons de la Place Georges Brassens. Contrairement a il y a quelques années, le lieu ne grouille pas de vététistes, on ne se bouscule pas pour se "placer" sur la grille. Une bonne partie des inscrits ont sans doute décidé de partir de Borrèze, autre départ possible pour rallier la cité médiévale lotoise, ce qui raccourcit la distance à parcourir d'environ 40 km. Comme je les comprends! La météo tristounette étant probablement une autre raison...

Le moins que l'on puisse dire est que ça ne bouchonne pas, on peut se placer comme on veut dans les premiers km, car on "visite" les zones commerciales et industrielles de Brive Ouest-St Pantaléon; les organisateurs ont sans doute leurs raisons que ma raison à moi ignore, en tous cas on peut rêver mieux quand on s'engage sur une rando vtt... Bref.

Je ne suis pas suicidaire, donc dès le début je prends le parti de ne pas essayer de suivre le premier paquet qui a décidé de s'expliquer. Je les ai à vue un petit moment dans les parties dégagées des ZI, et me cale sur un rythme type "endurance haute", à max 150 bpm. 

Premier chemin: le bourbier! Vive le Limousin! Premières côte: en partie à pied, car la boue est omniprésente, collante, et les crampons sont immédiatement bourrés. Premières descentes idem, freesytyle et sur des oeufs, au moins c'est marrant. Heureusement que la suite fut plus praticable, car je me serais lassé... En fait plus on s'approchera de Roca et plus ça sera sec. Magie du sol calaire...

Au moins, le terrain gras met de la difficulté technique, car sinon on est en présence d'un parcours roulant. Enfin je n'aurais pas craché dessus en début de saison! :-)

Au bout d'une bonne heure, après avoir passé Chasteaux et que les chemins se font plus praticables, j'arrive au premier ravito. je ne m'éternise pas car je ne ressens pas de fatigue, je remplis juste à nouveau mon bidon aux deux tiers vide, mets des pruneaux dans ma musette et repars.

Un jeune avec un maillot de club de la Haute Vienne me passe, j'en profite pour prendre sa roue, ça tombe bien car je commençais à m'endormir; il met les watts, je reste derrière lui un moment, puis me sentant bien je prends des relais. On passe deux ou trois vététistes, on se fait passer par un VTTAE, tout roule... jusqu'au moment où dans une descente bien grasse et au milieu des flaques d'eau, mon compagnon du moment, fort sympathique et avec qui j'échange quelques phrases et réflexions, s'étale devant moi de tout son long. Je l'évite de peu, m'arrête pour lui demander s'il ne s'est pas fait mal, mais ne peux m'empêcher de rire, je sais c'est pas bien mais il n'est pas très beau à voir (moi aussi sans doute non plus, de toutes manières je ne peux pas me regarder dans le rétro!)! Je l'attends un peu, il a un peu de mal à se remettre en route, il est visiblement un peu "calmé". Bon tant pis, je file.

C'est ainsi que je rallie le village de Borrèze, département 24, où je rencontre Julien Bartoli de Sport Bike, surpris de me voir ici car pour lui "je ne faits plus Brive Roca", avec qui je discute un peu. Il me renseigne sur la suite des hostilités, me dit qu'en fait la rando fait 87 bornes (mince, moi qui trouvait que 80 c'était déjà beaucoup pour moi!)... 

Allez c'est reparti. J'ai un petit groupe devant moi, je me dis que je vais le rejoindre rapidement, en fait non, je ne le rejoindrai jamais... premiers signes de fatigue... On est sur le parcours commun avec la "petite" rando, parfois c'est un peu scabreux pour doubler, c'est le jeu on est sur une rando. 

Troisième est dernier ravito, on est à 26 km de l'arrivée, je ne peux plus voir le sucré en peinture et me jette sur un gros morceau de pain et une tranche de rôti... Le bonheur tient à peu de choses parfois. Bizarrement je me sens plutôt bien, je commence donc à pas mal envoyer, profitons-en... Je remonte un vététiste du long parcours, puis deux... un autre, toujours avec un maillot de Haute Vienne mais pas avec le même maillot (!) me passe en trombe, tête brûlée que je suis je saute dans sa roue. Il a une sacrée allure, je sens les crampes pas très loin mais ne le lâche pas, ne sachant pas trop où cela va me conduire; on ne se refait pas... 

Peu avant la résurgeance de St Sauveur et le magnifique single surplombant l'Ouysse, je tente de passer un raidar sur le vélo, qui passe bien à l'entraînement. Zut, je sens la crampe derrière la cuisse arriver, elle est proche, je la sens... Je descends de vélo mais c'est trop tard, je suis foudroyé, à terre! Les vététistes qui passent ne peuvent malheureusement rien pour moi, je me relève avec difficulté, tends le muscle, je devrai rester ainsi au moins cinq minutes pour que le muscle se décide à ne plus remonter! 

La petite dizaine de km qui reste sera pour moi un calvaire, ça tombe bien on s'approche de Rocamadour, lieu de pélerinage! On s'enfile la côte de Combe Longue la bien nommée, interminable pour moi et pour tous ceux qui m'entourent; je me cale sur le 30*42 (tout à gauche, je ne peux pas plus) et attends que ça passe, d'autant plus que je sais que pour rallier l'Hospitalet il faut redescendre puis remonter. On est enfin en haut, allez plus qu'une descente, je la négocie poignée en coin selle basse (merci la tige de selle télescopique, c'est un accessoire sacrément utile bien qu'un peu lourd), doublant un participant "à l'arrêt". Dernière côte dans la cité, cest fini, plus que quelques escaliers à gravir et une côte raide goudronnée en lacets, on y est! Pas mécontent d'être arrivé, pas mécontent de mon temps non plus, pas tout à fait 5h40 (j'ai oublié d'éteindre le chrono et n'ai pas regardé en arrivant), à presque une heure des deux premiers quand même. Je suis fatigué, je suis plein de boue, j'ai froid, j'ai faim, mais j'aime quand même le VTT!

Avec un meilleur foncier, quelques sorties avec du rythme, je devrais pouvoir venir à bout des parcours typés marathon dans de meilleures conditions, je sais ce qu'il me reste à faire... Avec un emploi du temps toujours aussi tendu...

 

12/03/2016

Souple, souple°°°

Mon genou va mieux, mais il est toujours bancal; je suis allé courir courir cette semaine sur des durées courtes, ça a tenu, alors je me dis que ça peut passer dimanche... il faudra courir sur des oeufs, et faire gaffe en descente... 

Vite fait, je poste le contenu de ma semaine, qui sera ponctuée par le trail des césarines version court:

-Lundi 7/03/16 PM, VTT dans la boue (voir photo après la sortie!), 2h27. Je me rends une fois de plus compte que je ne suis pas très à l'aise dans le gras en vtt, normal je pratique peu dans ces conditions. Mais c'est quand même bien marrant! Par contre mes plaquettes de frein n'ont pas apprécié, j'ai fini sur la ferraille... De toutes manières il fallait que je les change...

-Mercredi 9/03/16 PM, CAP VMA, 0h47. Echauffement de 20' comprenant deux sprints de 15", suivi de 1§' en 1'-1'. Naze à la fin, et genou un peu douloureux. Retour tranquille, je ne boîte pas, il y a du progrès... 178 bpm max.

-Jeudi 10/03/16 PM, CAP récup, parcours mixte route-sentiers. Le genou, ça va pas trop mal, sauf en descente où ça tire derrière.

-Vendredi 11/03/16, je ressors mon vélo de route qui dort dans la grange depuis plusieurs mois, pour une sortie endurance d'1h24, vélocité et deux côtes où je me sens plutôt bien, envie d'envoyer un peu. Bon signe pour dimanche?

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12/09/2015

La rando de la pomme: la bonne surprise

En me rendant à cette rando, je pensais participer à un truc plutôt sans difficulté. Pourtant on m'avait prévenu: "Tu verras, ça monte plus longtemps que chez nous". C'est marrant, mais je n'y croyais pas trop: dans le cadre  de mon travail, je vais livrer des fromages à Varetz, St Viance et Objat, et quand on se cantonne à ces seuls endroits, on pense que c'est un peu le plat pays. La réalité est tout autre: au nord d'Objat, lieu de production, en passant, de la fameuse Golden du limousin aux 50 traitements par an, ça monte lontemps, fort, et certaines descentes sont bien techniques!La zone est plus peuplée que nos causses lotois, mais le relief est accidenté, de superbes points de vue s'offrent à nous, les villages, dont la petite ville de Juillac, sont mignons, bref tous les ingrédiens sont là pour faire une super rando!

8h15: je m'élance avec la (pas très nombreuse, moins de 100 gus à mon avis) meute du grand parcours vtt, à savoir 60 km. On roule plutôt tranquille, sur route et chemin roulant et assez plat; parfait pour la mise en jambes. Rapidement, on se retrouve dans la première vraie côte du parcours. Je suis dans le trio de tête. Un de mes compagnons semble bien connaître le coin. Il prévient que ça va monter fort et longtemps. Il est impressionnant: toujours assis, bien dans l'axe, un vrai métronome qui donne l'impression de ne pas focer; dégoutant! De mon côté, je suis à 170 bpm voire plus, et je me sens en léger sur-régime. La sagesse aurait voulu que je ralentisse pour ne pas trop souffrir par la suite, mais je me suis dit: "On est sur une rando, je suis là pour m'entrainer, alors je tiendrai le temps que je tiendrai, et je finirai comme je pourrai".

En fait, j'aurai tenu deux heures comme ça, jusqu'à une petite erreur de parcours tout de suite corrigée, moment choisi par mes deux compagnons pour prendre la poudre d'escampette. Il faut dire que je montrais déjà de sérieux signes de faiblesse et que je faisais pas mal l'élastique.

La suite fût un peu chaotique pour moi: je me suis perdu deux fois: une fois au niveau d'une ferme, où après être descendu pour rien dans une combe et être remonté, le fermier m'a monté le bon chemin; la deuxième fois au niveau du cimetière de Juillac: à la hauteur d'une patte d'oie, la flèche "gisait" au sol. J'avais une chance sur deux: perdu. Après avoir erré et cherché des flèches, attendu, j'ai fini par me rendre à l'évidence et faire demi tour.

Niveau allure de croisière, j'ai baissé d'un cran mais ne me suis pas écroulé, merci les longues sorties que je me suis coltiné ces derniers temps, qui m'ont donné une bonne petite caisse.

Je viens à bout des 1750 m D+ de cette rando bien sympa en 3h58, avec beaucoup de jardinage. Peu importe, les objectifs sont remplis: découvrir un nouveau coin, rouler avec des gens agréables sans oublier de se tirer la bourre... Que du bon!

Le gros bémol pour moi, c'est le fléchage: pancartes trop petites et directions à prendre visibles au dernier moment. C'est bon pour les marcheurs, ou les vététistes très pépères... Il faut dire que ça ne doit pas être facile d'organiser, le même jour, une cyclo avec trois distances, idem en VTT, et une rando pédestre! Vu que la Rando de la Pomme a lieu tous les deux ans, pourquoi ne pas alterner un année vélo de route, une année VTT, en gardant les marcheurs tous les ans? En plus de simplifier l'intendance, ça permettrait de varier les plaisirs! Enfin, je dis ça, je dis rien!

En tous cas, merci à mes deux lièvres, et peut-être à bientôt sur une rando de la région!

 

22/02/2013

Jeudi 21/02/13 PM, VTT

Reprise du vélo, je n' avais pas roulé depuis le 25/01.

Comme à chaque fois que j' arrète le vélo pendant un petit moment, tout en maintenant des sorties CAP, je constate une bonne perte de puissance au niveau des cuisses (quadriceps), par contre je souffle peu. Cela confirme le sentiment de beaucoup de coureurs-cyclistes: la course à pied et un sport plus cardiaque que la course à pied, et moins musculaire.

Il m' est arrivé de couper complètement la CAP pour ne pratiquer que le vélo, et à la reprise ce fut une autre paire de manches: grosses courbatures le lendemain, et oui, solliciter ses muscles de manière excentrique, alors qu' en vélo on les sollicite de manière quasi-exclusivement de manière concentrique (pas de réceptions), ça ne s' improvise pas!

Moralité: il est plus facile de passer de la CAP au vélo que du vélo à la CAP.

Hier, beau temps ensoleillé et froid, sur chemins secs, Gluges- Montvalent-Meyronne-mont Mercou-Martel-St Michel, quelques bons raidillons, qui me font monter le coeur brûler les cuisses, et un portage pour me hisser en haut du Mont Mercou, 2h27 à 139 puls moy et 167 puls max.

16/01/2013

foncier lundi 14/01/13 AM

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De retour de virée par une matinée hivernale...

Lundi matin, après m' être arnaché: t-shirt, maillot, veste, bonnet, casque, gants, chaussettes, chaussures, sur-chaussures, ouf (!), j' enfourche mon vtt.

3°C et un petit vent du nord, là aussi il faut se faire un peu violence! oublié le froid dès que je rentre sur les chemins.

Direction Siran, le point de vue au dessus de la cascade est toujours aussi superbe, en passant par Magnague-Padirac, un bout de GR particulièrement rocheux et donc particulièrement glissant en cette saison.

Je longe ensuite la falaise par le chemin technique que les traileurs et vététistes locaux connaissent bien, pour basculer sur autoire par un chemin qu' il vaut mieux prendre dans ce sens (!), tout aussi glissant sur lequel il faut garder une bonne vigilence. Mes repères dans cette descente relevant de passages sur le sec, je me suis fait surprendre une ou deux fois et finis un peu crispé!

Je me rens compte à ce moment que j' ai perdu en assurance quand ça glisse, en effet mes dernières sorties vtt ces derniers temps ont plus été des sorties vtt sur route, car je rechignais un peu à tout salir, et c' est vrai que je préfère quand c' est sec...

Donc à travailler! 

Retour par Loubressac-ruines de taillefer, bien fatigué à la fin, il faut dire aussi que le froid ça use.

Bilan: 3h21 à 134 puls moy rt 158 puls max.

09/01/2013

Maintenant, bronchite! Dimanche 6/01/13 AM

Mon club avenir VTT 19 organise une sortie rando avec pas mal de monde, je décide de m' y rendre bien que ce ne soit pas très sage.

J' arrive sur le lieu de RDV à la base de vtt de Chasteaux 30' en retard, bien sur tout le monde est parti. Je décide donc d' aller rouler seul. En définitive, c' est sans doute pas plus mal car je roulerai le temps que je voudrai à l' allure que je voudrai. De plus je suis sur le site de la montagnne pelée, ebdroit magnifique et préservé malgré le nombre impressionnant de traileurs, randonneurs et autres vététistes qui y circulent chaque week-end. Il faut dire que c' est un terrain de jeu idéal pour les brivistes qui habitent à Deux pas. Pour ma part je connais assez peu (un peu loin de la maison pour m' y rendre directement à vélo), c' est donc l' occase.

Côté sportif:1H40 à 123 puls moy et 152 puls max dans un long raidillon technique et pierreux, les pulsations sont scotchées en bas, même dans la côte de la montagne pelée, que je grimpe à environ 130 puls. Avec ma fièvre et ma trachée en feu, je me demande un peu qu' est-ce que je f... ici dans cette purée de pois par 3°C. Je serais sans doute mieux dans mon canapé avec une tisane bien chaude. 

08/01/2013

travail de la technique VTT, samedi 5/01/13 PM

Minie sortie vtt sous le signe de la technique en vétété dont je raffole.

Je choisis un thème à travailler (franchissement, saut de bosse, bunny up...) et je m' y cantonne, répétant x x (il y a que comme ça que ça rentre). en ce moment c' est le weeling. Je fais ça sur une petite route très peu fréquentée avec de la visibilité, faut pas faire n' importe quoi non plus!

Cette figure ne sert officiellement à rien à part à faire le kéké, mais je ne suis pas d' accord:tout d' abord trouver le point d' équilibre en roulant sur la roue arrière procure des sensations géniales, mais en plus, comme toute accrobatie difficile à maîtriser, elle a le mérite d' accroître son équilibre et son assurance en situation normale, sur deux roues quoi!

J' ai recommencé à travailler le weeling recemment après l' avoir laissé tomber pendant presque 20 ans ( date de l' achat de mon premier VTT!), et à 35 piges, je dois dire que le travail commence à porter ses fruits, je roule environ 30 M sur la roue arrière avec mon vélo de dirt.