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30/06/2013

Samedi 29/06/13 soir, vélo de route endurance-force

Les journées se suivent et se ressemblent: foin l' après-midi, sport le soir.

Thème: la force (en côte bien sur, à + ou - 40 rpm):

-deux fois 2' force en danseuse (force D);

3' force assis (force A);

8'30 force A;

1'30 force A.

1h14, 129 puls/min moy, 155 puls/min max.

Jeudi 27/06/13 soir, CAP endurance

Cette semaine est encore une semaine "foins", ça s' éternise un peu à cause de la météo capricieuse de cette fin de printemps-début d' été. La semaine prochaine, tout devrait être fait et rentré, mais les deuxièmes coupes ne vont pas tarder!

J' ai pu caser une petite séance, mais seulement vers 21h00; si je m' étais écouté, je n' y serais pas allé, j' avais vraiment envie de me poser, mais une fois parti, j' étais content d' y être!

0h45, 137 puls/min moy, 148 puls/min max.

27/06/2013

Lundi 24/06/13, vélo de route foncier

Mon VTT étant immobilisé (le bras oscillant s' est dévissé à la Granit Montana, et je n' ai pas pris le temps de l' amener chez le vélociste, j' y vais demain), j' ai fait ma sortie longue en vélo de route. J' ai fait un tour par le département de la Dordogne, en passant par Floirac, Montvalent, Meyronne, Lacave, Meyronne, Lamothe Fenelon, Masclat, Le Roc, Souillac, Pinsac, re-Lacave, St Sosy, Gluges. Bien fatigué à la fin, plaisir à rouler.

Les chiffres: 4h33, 129 puls/min moy, 161 puls/min max.

26/06/2013

Gaz de schiste: le permis de Brive est rejeté

 

La ministre de l'écologie, Delphine Batho, n'a pas attendu la décision du préfet de Dordogne, et a sonné la fin de la récré sur le sujet de la demande de permis d'exploiter les gaz de shiste et de houille, venant de la société Hexagon gaz, sur notre territoire. C'est une très bonne nouvelle, on pouvait s'y attendre, vu l'émoi que cette perspestive provoquait au sein de la population, et vus les "dommages collatéraux" qu' une telle technique (fracturation hydraulique) auraient causés. Ce qui est un peu plus inquiétant, c'est que d'autres techniques, qui n'existent pas encore ceci dit, pouraient avoir l'aval du ministère. A ce sujet, on voit difficilement comment une technique "propre" pourrait permettre d'extraire des gaz aussi "difficiles d'accès", sans parler de l'impact sur le réchauffement climatique de l'exploitation de ces mêmes gaz. Sans compter que certaines sociétés pétrolières déclarent notre loi anti fracturation hydraulique inconstitutionnelle...

Il n'y a rien à faire, la seule solution pour notre avenir, elle est , ou plutôt, elles sont très simples: ÉCONOMIES D'ÉNERGIES, et ÉNERGIES RENOUVELABLES!

Une bataille est gagnée, ne baissons pas la garde! 

http://www.lamontagne.fr/limousin/actualite/2013/06/24/le...

 

 

23/06/2013

Bilan de la semaine: repos relatif

Semaine light, post compèt, à base de minies séances:

Vendredi 21/06/13 PM, Cap endurance, 0h31, 137 puls/min moy, 145 puls/min max.

Samedi 22/06/13 PM, HT endurance basse, 0h25, 107 puls/min moy, 115 puls/min max.

Dimanche 23/06/13, CAP endurance, 0h33, pas de cardio.

Toatal: 1h04 CAP+0h25 HT=1h29.

21/06/2013

Bilan de la semaine dernière

Semaine cloturée par la course la plus de l' année pour moi: la Granit Montana. Malheureusement, ma prépa en dents de scie, et mes "errements" de ces derniers temps ne m' on pas permis d' y "performer", mais ma prestation n' a pas été ridicule pour autant, et me laisse espérer de bonnes choses pour la suite de la saison. Une chose est sure, je garde de supers souvenirs de dimanche dernier, et c' est avant tout pour ça que je fais du sport: le plaisir!

Volume:10h10

Intensité: deux fois le GR qui monte à Soult (environ 6' chaque fois) + ou - au taquet, + les côtes de la granit!

Ma plaque? La voilà!

P6201623.JPGPour le clin d' oeil, voici mon numéro, sans un brin de boue, normal, ma plaque était bien rangée dans son enveloppe, pendant que je m' escrimais sur mon vélo!

22:22 Publié dans ..°°° | Lien permanent | Commentaires (0)

19/06/2013

Granit Montana, le grand tour de manège!

L' Ambazac Sprinter Club a encore frappé un grand coup, et a atteint son but non dissimulé: marquer les esprits, et les organismes! Cette course est sans doute en train de devenir une référence nationale pour les amateurs de VTT bien corsé!

Dimanche matin, j' arrive à St Sylvestre, petit village de la Haute Vienne, niché au coeur des Monts d' Ambazac, au nord-est de Limoges. Je ne suis pas en avance, il est 8h20, le départ du 55 km est à 8h45, et je dois récupérer ma plaque et préparer mon vélo... Je le décharge de la voiture, fais la pression des pneus, huile la chaine, enfile casque, chaussures, et file aux inscriptions. En plus de la plaque, une belle assiette à l' effigie de l' épreuve, en porcelaine de Limoges bien sur, nous est offerte. Je regarde le départ des enragés du grand parcours, ça part vite, tout le monde veut se "placer" avant les premiers goulets, où d' inévitables bouchons vont se former...

Dix minutes plus tard, c' est à mon tour d' être sur la ligne de départ; le speaker donne les informations; nous sommes à 1' du départ, un concurent qui avait oublié sa plaque et qu' on attendait arrive, mer..., ma plaque, elle est restée dans l' enveloppe, au chaud dans la voiture! Trop tard, je partirai sans, tant pis si je ne suis pas classé, de toutes manières je ne vise pas le podium... ou comment se faire remarquer dès le départ...

C' est parti! Je suis au milieu du "paquet", ça frotte, je "gicle" (gentiment) pour me placer moi aussi, j' ai envie de profiter des sympathiques ruptures de pente, dont le parcours est truffé, et ce dès le début! Mais pas de bol: je déraille, la chaine tombe sur la manivelle, je m' arrête pour la remettre en place, et repars quasiment en queue de peloton! On est sur une route en côte (le plus long tronçon de tout le parcours), je me mets "au rupteur" et remonte pas mal de monde, idem sur le chemin qui s' ensuit. Puis c' est l' arrêt, le terrain se fait technique, en monotrace, on roule en file indienne, et dès qu' un concurrent bute, tout le monde s' arrête. Bah, ce n' est pas grave, je suis là avant tout pour le plaisir, le chrono c' est secondaire... pas d' énervement, on est encore loin de l' arrivée.

Plus d' une heure de course, premier ravito, je m' arrête sans hésiter, s' alimenter est primordial, afin de ne pas avoir un méga retour de bâton par la suite. Je suis plutôt bien, je ne m' éternise pas, et repars à l' assaut des réjouissances du parcours: côtes techniques, "murs" à descendre, compressions... mieux que le grand huit! A ce stade, tout le monde est à peu près à sa place, on ne se gène plus trop dans les parties techniques. On commence à rattrapper les derniers du grand parcours...

Jusque là tout va bien, le terrain est sec, hormis quelques zones grasses (je n' ose pas imaginer la Granit Montana sous la pluie!). On attaque une bonne grimpette en lacets, tout à gauche pour moi, et je trouve que quelque chose cloche sur mon vélo, comme si quelque chose avait du jeu; Je m' arrête, vérifie le pédalier, la roue arrière, RAS...

Deuxième ravito, celui-ci tombe à point nommer, car je commence à être bien entamé! Je ne suis pas le seul, les gars autour de moi aussi, certains préfèrent descendre de vélo pour monter "les trucs durs". Ils n' ont peut-être pas tort, il vont au moins aussi vite, perso je m' obstine à rester sur le vélo, on n' est pas sur un trail, même si ce parcours, en course à pied, pourrait être vraiment rigolot! D' ailleurs, je ne suis pas sur que les trailers mettraient beaucoup plus de temps que les vététistes...

Je suis à quelque chose comme 3h30 (peut-être un peu plus) de course, on arrive à la bifurcation 75-55km, qu' est-ce que je suis content d' avoir choisi le 55 km! On est un groupe de quatre ou cinq à rouler à peu près au même rythme, j' ai juste l' avantage dans les descentes, je me dis que ça sera à exploiter sur la fin... Pour l' heure, je prends de l' avance en descente, et me laisse rejoindre en côte, ça me permet de m' économiser un peu...

Dernier ravito, on est à plus de 4h00 de course, il reste une dizaine de bornes, je me dis: "plus qu' une heure". Je ne peux plus avaler de sucré, je me jette sur le saucisson et l' emmental à la manère d' un affamé, les bénévoles ont dû halluciner (!), bois un verre d' eau, et j' oublie, grave erreur, de remplir mon bidon... On repart, regaillardis, et le groupe éclate: on part à deux, le sauciflard a du me faire du bien, tout du moins au moral. Descente, en bas je m' arrête, il y a un problème sur ce vélo! En effet, je m' aperçois que le bras oscillant est quasiment dévissé! Heureusement, j' ai mon multi-outil, je revisse comme je peux, les trois gars qui me doublent me demandent si ça va, sympa... En fait, sur ce genre de courses dures, on est tellement tous dans la même galère, que l' esprit de solidarité l' emporte souvent sur l' esprit de compèt! Je repars, "recolle", avant de basculer en tête dans la dernière descente, où j' arrive, malgré le peu de lucidité qui me reste, à creuser un bon écart. Arrivé en bas, je traverse une route, ça y est, on est arrivé, je reconnais l' endroit, on a fini par là il y a deux ans! Je jette mes dernières forces dans la bataille, je suis complètement mort, j' avance juste au moral! J' entends le speaker, je suis content d' avoir pu conserver ma place dans le petit groupe! Un trou, l' arrière "rippe", je pose un pied, et là, reme..., les crampes m' assaillissent (super de ne pas avoir rempli le bidon, j' ai manqué d' eau sur la fin!), à gauche, à droite, devant, derrière, obligé de me coucher, je ne peux plus avancer, et je ne peux pas m' empêcher de remarquer à quel point la scène est ridicule! Mes compagnons me passent un à un, pendant qu' une sympathique éduc sportive, sortie de nulle part (je ne vous mens pas!), me fait des étirements, pour que je puisse repartir et finir les 200m qui restent! L' honneur est sauf, je finis sur le vélo, en moulinette, devant un Jean Paul Stéphan un peu amusé (peut-être de voir un concurrent passer la ligne sans plaque!), douché et changé bien sur, entrain d' attendre son pote Thomas Collinet, qui gagnera le 75 km. Lui gagne le 55 km, en un peu plus de 3h40! Je tape un peu la discutte avec lui, puis file à ma voiture, content d' avoir tout simplement fini! Je ne m' en sors pas si mal que ça, 29 ième (merci les organisateurs de m' avoir classé, par chance je me rappelais du numéro de ma plaque), en 5h13 (157 puls/min moy, et 178 puls/min max), sur 104 arrivants, et un paquet d' abandons!

L' année prochaine, je reviens, objectif: moins de 5h00!

Granit Montana, résultats des courses

Vous pouvez consulter les résultats de l' édition 2013 ici:

http://ambazacsprinterclub.free.fr/index1.htm

 

 

 

13/06/2013

Mercredi 12/06/13 soir, VTT PMA

Hier, j' ai encore rentré du foin, et ce n' est que vers 19h que j' ai pu aller rouler. Pas grave, les journées sont longues en ce moment, profitons-en!

Jolie sortie VTT sur terrain pentu, j' ai fait du fartleck, cette méthode scandinave, bien connue des coureus et des fondeurs, qui consiste à "jouer" avec le terrain, en alternant intensité et récup. 

Ce coup-ci, je me "suis fait" la côte de Soult par le GR deux fois de suite, une de mes côtes test, bien raide et bien technique, je ne m' étends pas car j' ai dû déjà en parler, pardon si je radote! Je mets environ 6' pour arriver en haut, le départ et l' arrivée sont méga durs, il y a une petite récup (très relative )au milieu. A redescendre, on en prend plein les bras, caillous, marches, et encore caillous, c' est dans ces situations qu' on appécie le 29 pouces!

1h30, 146 puls/min moy, 179 puls/min max.