10/09/2019
En fin de compte ce sera quatres...
... sorties la semaine 36, alors que j'avais envisagé en rajouter une cinquième. Quatre m'auront suffit et me suffiront jusqu'à la fin de l'année, car je ne me suis pas senti très frais en fin de semaine. Surtout faire preuve de patience, ne pas augmenter trop et trop vite la charge, meilleur moyen d'accumuler de la fatigue et de se blesser... D'ailleurs j'ai une douleur sous le pied droit, à surveiller. Aujourd'hui mardi 10/09 je ne suis pas allé courir, et cette douleur a régressé. J'espère qu'après cette nuit ça ira encore mieux, car demain j'ai prévu une grosse sortie. Résumé de la semaine passée et explications.
-Mardi 3/09, soir: 1h27 avec 5 * 4'-4' en côte, bpm max 180;
-Mercredi 4/09, PM: ne sentant pas trop le mal de jambes d'hier, je me fais "un peu plaisir" en forçant ponctuellement en côte, et accélérant aussi ponctuellement en descente. Bref une sorte de fartlek, sans cardio, aux sensations. 1h29. Gare au retour de bâton;
-Jeudi 5/09, PM:bingo! Du mal à finir mon footing (1h21), content de rentrer! Bien sur zéro sensation, ou si que des mauvaises;
-Dimanche 8/09 AM: il m'aura bien fallu deux jours sans courir pour retrouver des jambes à peu près correctes. Pas celles des grands jours mais cela n'est pas grave, je dirais même que c'est plutôt bon signe car cela veut dire que j'ai bien bossé. Je me fais quand même un joli bloc: 2 * (9' en 1'-1'). Récup de 3' entre les deux séries (le temps de redescendre la côte). BPM max 168, pas top top mais pas cata non plus. Manque de fraicheur et mental pas complètement "dans l'exercice" (les deux étant sans doute liés). 1h34 en tout.
Donc une semaine d'entrainement assez classique pour moi.
Il ne faut pas rêver, je ne serai pas compétitif dimanche pour faire une perf sur le court. Donc j'ai choisi de m'engager sur la distance au dessus, soit 21 km et presque 1000m D+, sans objectif, en mode "rando active". Enfin cela représente déjà un gros morceau pour moi qui suis habitué aux courses natures, sans être inaccessible, pour peu que je ne me laisse pas entrainer par la meute de devant et que je me mette sur le frein au moins sur la première moitié de course! Donc la consigne pour dimanche, c'est: profiter du parcours, des paysages, et voir sur la fin s'il m'en reste un peu. Pour ne pas être complètement à la rue cependant, demain mercredi j'ai prévu une sortie trail d'environ 2h30, avec un peu d'intensité si je me sens bien. Genre de gros effort, dans le but de surcompenser dimanche 15, et de voir si une séance longue passe bien, quitte à marcher un peu sur la fin si j'en ai plein les pattes.
De toutes manières, au trail de la vallée du Célé, il me manquera et du foncier, et de la vitesse. Peu importe, l'important est de s'y remettre!
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17/03/2019
Course nature des Césarines, bon début de saison!
Pas de CR, étant actuellement un peu débordé. Pour résumer cependant ma course, je dirais que j'ai tout de suite vu que j'étais dans le coup, car je me suis retrouvé dans les 15 premiers une fois le départ donné, et ce sans être à bloc. Les cinq kilos en moins sur la balance expliquent tout, mon entrainement n'étant pas meilleur qu'en fin de saison dernière... Encore moins trois kilos et je serai sec, ne relâchons pas les efforts!
http://www.runningtrail.fr/resultats/2019/Trail-des-Cesar...
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29/01/2019
Trail de L'Acqueduc 2019: Ouch!
C'est assez rare que je fasse des courses au mois de janvier, cette période étant plus propice pour moi pour aller chiner en rando dans des coins que je ne connais pas trop, observer, découvrir, contempler, rêver, avant d'attaquer un peu plus tard un entrainement plus spécifique, plus sérieux et structuré, normalement en vue d'échéances vélocipédiques au printemps. Autres temps autres moeurs, transition, projets, tout ça tout ça... ont fait qu'en 2018 je n'ai repris la compèt qu'au mois d'octobre, et en mode course à pied. Je ne me sens donc pas "usé", ni physiquement ni moralement, et j'ai encore envie d'en découdre et de m'amuser en course. Et comme je sais que cette épreuve (que j'ai faite en 2014) est une petite tuerie, il n'a pas fallu que je me force beaucoup pour m'y inscrire.
Après quelques échanges sur Messenger, on se retrouve à trois, après s'être rencardé à Gramat, dans la voiture de Maxime, en compagnie de Jeremy, un copain très sympa à lui.
Arrivés au sympathique village de cours, en haut d'une butte dans le calcaire au Nord de Cahors, notre première impression commune nous saute dessus: "Fait pas chaud! Manquerait plus qu'il pleuve!" Ce qui, bien entendu, ne manquera pas d'arriver. Rafales de vent, pluie glaciale horizontale, terrain grassouillet à souhait, voilà le menu du jour! Quoi de plus normal un 27 janvier...
Rituel d'avant course: retrait des dossards, mise en tenue de combat (torse nu dehors c'est juste!), échauffement de 20' pour moi, et "mise en grille"; je me place plutôt vers l'avant en bon optimisme que je suis, Maxime un peu plus loin, Jeremy plus au fond, il reprend juste la course à pied.
Top départ! Petite côte sur la route, qui débouche sur une piste descendante, puis un chemin boueux descendant, puis sur une trace descendante et méga savonneuse... J'aurais bien aimé me retrouver spectateur à cet endroit, car on se croirait sur une piste de bowling, la piste étant le chemin, les quilles étant... nous, soit debout vacillants, soit au sol en train de glisser! Au passage, bien que j'ai beaucoup glissé, ne je serai pas tombé de toute la course, un vrai petit miracle...
Nous voilà en bas, le pire est à venir! Je reconnais le pied de la première grosse côte, nous y sommes passés en 2014. Côte très raide en monotrace, on n'a plus qu'à marcher, les mains sur les cuisses et le buste penché en avant en attendant que ça passe; le trailer sait faire preuve d'abnégation, personne ne bronche. Personne? Si j'entends un râle, et j'identifie la personne en haut de la dite côte: un participant (le premier V3 en fait) fait un bruit de tous lesdiables, gémissant en même temps qu'il évolue... On a presqu'envie de lui porter secours!
Km 5 environ, premier ravito; j'ai senti des prémices de crampes dans les deux mollets dans le gros raidard précédent, il s'agit donc de boire. Un verre d'eau + un verre de coca = crampes oubliées. Je repars aussitôt en compagnie des deux premières féminines. Elles sont quasiment au coude à coude, la bagarre fait rage! On est sur une partie assez roulante (oui il y en a eu un peu quand même!), par contre on essuie une averse à nous glacer les sangs. Et hop, descente, la plus technique; j'en profite pour fausser compagnie aux deux concurrentes, et pour grappiller quelques places, restant un peu sur la retenue quand même, je n'ai pas envie d'aller au tapis au milieu de ces marches... Ou comment descendre sur des oeufs...
Bon ben voilà, reste plus qu'à remonter maintenant! La côte se court dans un premier temps, on remonte un fond de combe. Puis la pente se fait de plus en plus raide, au point que tout le monde adopte à nouveau la marche. Et qui est-ce qu'on rejoint à nouveau? Notre ami le râleur! Impressionnant, on dirait qu'il est sur le point de défaillir à chaque instant! En plus il perturbe la quiétude des lieus! Technique ou stratégie? Sur la crête qui suit nous sommes trois à le passer, j'espère qu'il ne nous rejoindra plus... Troisième grosse descente, rapide celle-là. Je ferme la marche, on plonge, et on ne fait pas semblant; supers sensations de vitesse, je suis la trajectoire de mes prédécesseurs sans me poser des questions...
Km 10 environ, deuxième ravito, ça commence à sentir bon... Un verre de coca plus tard me voilà à nouveau en course. Et mince! devinez qui est devant moi? Notre V3, qui semble agoniser mais ne s'arrête pas aux ravitos! On attaque en plus le coteau de l'acqueduc, un des endroits les plus techniques et étroits du parcours, où doubler est assez ardu. Je reste derrière lui un moment, profitant de la situation pour récupérer un peu. Là je crois qu'il est très émoussé, il commence à trébucher sur tout ce qui dépasse et ne fait pas preuve de grande agilité, s'agrippe à tout ce qu'il peut... Derrière c'est revenu, c'était pas loin de toutes façons, et ça commence à s'agacer; notre homme sait qu'il commence à provoquer un bouchon mais ne s'en émeut pas et n'a pas décidé de laisser la voie libre. Serait-il un brin mauvais perdant? Passé l'acqueduc qu'on traverse accroupi et dans le noir complet à un moment (attention aux têtes, le calcaire c'est dur!), j'estime qu'il est temps d'accélérer, lui demande pardon et "force" un peu le passage; mes suiveurs font de même, il est contraint de se dresser.
Route, ça fait bizarre, c'est quoi ce revêtement, j'en trébuche! Vallée du Vers, on traverse sur une jolie passerelle en bois, puis on longe la vallée. J'allonge la foulée; j'ai à ce moment-là une impression assez bizarre: je ne sais pas trop s'il me reste des ressources ou pas, car je ne suis pas tellement en souffrance.
Panneau "arrivée dans 2 km"! Dernère côte. Jai la réponse à ma question: je ne suis pas complètement cuit, mais ne suis pas capable d'en rajouter une couche pour faire la différence, d'autant que la première fille vient de me redoubler, "coachée" par son copain qui la motive du mieux qu'il peut. Virage en épingle, je les repasse à nouveau tous les deux, elle aussi est très fatiguée, prête à craquer, presque uniquement portée par les encouragements de son compagnon. Et par la pression de la deuxième fille qui n'est vraiment pas loin non plus! A partir de là je ne doublerai plus personne, pousse une dernière fois sur mes jambes dans le dernier raidillon au pied des maisons, relance comme je peux dans le village, et passe l'arche, ouf! 1h33'47", 30 ième sur 248 arrivants, très loin de Johny "the machine" Lherminier qu'on ne présente plus, coureur lotois vraiment au dessus de la mélée, et qui atomise chaque course locale à laquelle il participe... Et respect à celles et ceux qui se sont engagé(e)s sur les deux parcours les plus longs, gros courage vues les conditions météo!
Maxime finit à la 113 ième place, avec un temps de 1h51'52", et Jeremy... je ne sais pas, je ne l'ai pas trouvé dans le classement, pardon Jeremy, tout ce que je sais c'est qu'il explose son temps de l'année dernière de 20', pas mal pour quelqu'un qui reprend tout juste! Et, chose essentielle, nous tous trois contents de notre matinée à crapahuter dans un si bel endroit. Enfin, on ne le dira jamais assez, merci beaucoup aux organisateurs et bénévoles sans qui rien n'est possible.
Maintenant place à un peu de récup pour moi: cinq jours sans courir qui marqueront la fin de ma saison automne-hiver 2018-2019, avant de reprendre en douceur, pour attaquer la saison 2019 avec probablement la course nature des Césarines, le 10/03...
23:34 Publié dans mes cOurses | Tags : trail, acqueduc, 2019 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/08/2016
Un mois plus tard...
J'ai rarement été aussi débordé. Environ un mois après le trail de Meyronne, je prends enfin le temps d'en parler un petit peu. Il faut que je creuse un peu dans les souvenirs...
C'est avec un entrainement correct mais sans plus, plutôt typé course à pied, que je me présente le dimanche 17/07.
Au départ, je retrouve Daniel, un copain V4, qui court, s'implique dans la vie associative locale... voici la preuve que plus on est actif, plus on reste en forme!
On regarde le départ du 21km, puis quelques minutes après c'est à notre tour de nous élancer. A ma droite après peut-être trente mètres de course, un jeune s'étale de tout son long, il a glissé sur des graviers! Ça ne le refroidit pas (au contraire?!), il double tout le monde après s'être aussitôt relevé!
On passe dans un camping devant le regard médusé, voire amusé des campeurs qui sont à l'heure du petit déj... puis on longe la Dordogne pendant un petit moment (deux km?). Joli tracé pour les vrais coureurs... Pour ce qui est de moi je suis en souffrance, mais je m'accroche et grappille même deux places. Je m'estime dans les 20 premiers.
Ça se corse enfin, on attaque la montée vers le Roc de Monges (on n'ira toutefois pas à l'antenne pour ceux qui connaissent), par un monotrace que je connais bien, car je roule souvent à vtt par là. Sur ce terrain, je me sens plus à l'aise, et je me sens pousser des ailes. Je talonne deux concurrents, et ronge un peu mon frein pour ne pas les doubler tout de suite, je ne veux pas me crâmer si tôt...
On bascule, toujours sur sentier hyper tortueux, d'ailleurs plus rigolo en courant qu'à vétété, on y passe beaucoup plus vite en tous cas!
Hop, on remonte, c'est à ce moment que je décide de "planter" mes deux prédécesseurs. Ravito en fanfare, sympa! Je gobe le contenu d'un verre d'eau, et continue de grimper, je me sens de mieux en mieux et j'attaque vraiment!
Il en sera de la sorte jusqu'en haut de la côte. Ensuite, ça va être plus compliqué pour moi. D'abord, je me fais doubler par le premier V3, il a une super foulée, m'encourage et me dit de m'accrocher, mais je n'y suis plus, avec cette chaleur qui commence à m'accabler, enfin plutôt à nous accabler, le dicton "le soleil se lève pour tout le monde" n'a jamais été aussi vrai!
Un peu plus tard, en descente, je me fais doubler par une autre coureur, à l'aise lui aussi, je ne peux une fois de plus pas lutter. Quand on est cuit on est cuit...
Et quelques minutes après sur le replat avant l'arrivée, un concurrent que j'avais doublé assez facilement me rejoint et me prend quelques mètres... J'essaie de rester au contact, mais il s'éloigne tout doucement, quand on est cuit on est cuit! Je n'ai pas mon cardio, mais je me sens un peu bridé, comme incapable de forcer à cet instant... Sans doute ai-je été trop généreux un peu plus tôt!
Bref je suis content d'arriver, bien émoussé! 18è sur 116 je crois (voir résultats), pas la folie, mais en sport le miracle n'a que peu de place, je paye un entrainement trop irrégulier depuis le début de l'année. La forme n'est pas très loin, il faudrait juste que je sois un peu moins bousculé dans ma vie en ce moment pour que j'aie la tête (et les jambes!) un peu plus au sport... On verra ça en 2017.
Actuellement, je fais pas mal de vélo, et compte faire une rando vtt à Cublac (Corrèze), le 28/08. J'enchaînerai probablement avec une autre rando VTT en septembre, puis une autre en octobre.
A tchao!
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17/04/2013
Trail du Rouergue, ou les montagnes russes!
SU-PER-BE!
Dimanche dernier, j' en ai pris plein les yeux, et plein les pattes!
Lever 5h15, direction la fromagerie pour une petite heure de boulot (éveil musculaire!). A 6h30, Xavier arrive pour prendre le relais, traite des chèvres...
Petit déj, j' avale une grosse tranche de pain raisins-noix bio "de Julien", un copain qui fait une fournée par semaine, et qui nous ravit à chaque fois, accompagnée d' un thé, et je prends la voiture pour 1h30 de route.
Arrivé à Morlhon-le-Haut, je constate que le coin est très encaissé. En même temps, pour proposer 1030m de D+ sur seulement 20 bornes, il faut bien que ça penche un peu... Je suis largement dans les temps, je n' ai donc pas à me presser. Direction les inscripltions, l' ambiance est toujours aussi détendue, on discute entre trailers, avec les bénévoles, on blague...
Echauffement de 18', en short, tee-shirt (c' est le printemps!) et manchettes, que j' enlève avant le départ, car je commence déjà à avoir chaud.
9h30 passées, c' est le départ, le village se situe sur une bute, on commence donc par une descente, sur la route, histoire d' étirer gentiment le peloton... arrivés à un lac, la pente s' inverse, ça monte sévère dans un près, on est tous à pied, enfin je veux dire on marche tous, en file indienne, sauf un concurrent, qui passe tout le monde en courant et qui a l' air facile, je ne le reverrai pas.
Descente, le rythme est rapide, un gars double tout le monde à fond la caisse et en tapant des pieds, on le retrouve à bout de souffle au pied de la côte suivante, tout le monde le dépose, celui-là non plus je ne le reverrai plus! En fait, tout le parcours se résume à une succession de descentes, certaines techniques plongeant dans des gorges, avec un gros air de Cévennes, le granit, la fôret, le dénivelé, tout y est, certaines (surtout dans la deuxième boucle) dans des prés raides à découvert, et de côtes tout aussi dures, où la marche est souvent de rigueur, avec quelques passages un peu "chauds": échelle, mains courantes...
La grosse difficulté du jour: en bas d' une vallée,, après avoir traversé un ruisseau, se présente devant nous un roc magnifique d' une hauteur assez impressionnante, que l' on a grimpé autant avec les pieds qu' avec les mains. A certains endroits, il vaut mieux ne pas tomber à la renverse! On est accueilli par pas mal de monde au sommet, sympa, et le plus dur est de se remettre à courir...
Au bout d' 1h45 de course, je commence à vraiment piocher, je scrute les allentours pour situer l' église de Morlhon, ça y est je la vois, mince on redescend, ça y est je la revoie, et m... on redescend, bon cette fois c' est la bonne, ben non, une dernière pour la route! Cette fois je suis vraiment cramé et j' ai vraiment envie d' en finir, un concurrent me passe, je m' accroche un peu mais je ne peux pas suivre, la tête, et les jambes(!), n' y sont plus. En bas de la dernière descente, je double un gars encore plus mort que moi, dernière côte, je tiens à la faire en courant, je me rapproche de celui qui m' a passé un peu avant, il est à pied, heu pardon il marche, déformation vététistique, mais il est trop loin pour que je le rejoigne.
J' arrive dans le village, je passe la ligne, 2h19'24", 18 ème sur 64 partants et 57 arrivants, pour le top 10 il faudra encore attendre!
Fait marquant: le premier met 1h52'25", il est le seul à passer sous les 2h, le deuxième met 2h05'05", il prend un vent d' environ 13' je suis 18ième à environ 14' du deuxième (vous me suivez!), le premier était vraiment au dessus du lot!
Autre anecdote rigolote: Je fais ma course à 168 puls/min moy, et 178 puls/min max, exactement comme au trail des Césarines, si c' est pas de la régularité!
Maintenant, place à la récup, puis à la préparation du semi de Vayrac!
23:12 Publié dans mes cOurses | Tags : trail, dépaysant, granit | Lien permanent | Commentaires (0)