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16/03/2013

Jeudi 14/03/13 PM, CAP VMA

Pour mon dernier entrainement avant le trail des Césarines, je voulais faire "du dur", n' ayant que peu forcé ces derniers temps. 

Echauffement de 20', suivi d' une accélération d' environ 40'' sur un gros raidar qui mène au "sommet" du Puy de Toul, je monte à 175 puls/min.

Descente, puis 1' en 10-10 (trois petits sprints de 10" suivis de 10" en récup active), je monte à 170 puls.

Je suis chaud (bouillant!), on peut passer aux choses sérieuses: 16' en 1'-1' (soit huit sprints d' une minute entrecoupés d' une minute de récup active), sur le plat pour quatre séries, et en côte pour les quatre dernières. Puls/min max: 182. Mort à la fin! Je n' avais pas fait de "frac" depuis un petit moment, j' avais oublié à quel point c' est dur! Soit dit en passant, il faudrait peut-être que tous ceux qui font ce genre d' exercices entament une thérapie pour savoir pourquoi on s' inflige de telles souffrances volontairement! En y réfléchisant un petit peu, outre la volonté évidente de progresser, il y a sans doute la satisfaction de passer au dessus de la douleur, le plaisir dans la difficulté! En réfléchissant encore un petit peu plus, on se rend compte que cela va à l' encontre de ce que prône notre société (décadante?) de consommation: plaisir immédiat, facile, réussite sans effort... et frustration constante car on veut toujours ce qu' on a pas! C' est d' ailleurs sur ce principe que la société de consommation repose, car si on arrête d' avoir des besoins futiles sans cesse renouvelés, le système s' écroule. Et oui, croissance, toujours croissance... Jusqu' ou cela ira-t-il?

Bref, les chiffres du jour: 1h29 à 152 puls/min et 182 puls/min max.

Demain, trail des Césarines, avec pour but: se faire plaisir dans la difficulté et dans un bel environnement!

12/01/2013

fractionné mercredi 9/01/13 PM

Température toujours froide (4°C), il faut se forcer un peu  pour mettre la tenue de sport...

Reprise des choses sérieuses avec, après un échauffement d' environ 30' terminé par 1'30 en 15"-15" (soit 3 accélérations de 15" entrcoupées de 15" de trot), bloc intense de 30":

16' en 1'-1', donc 8 sprints longs (ça passe pas vite!) séparés par 1' en récup active (là, ça passe beaucoup plus vite!). Pendant cette série, le coeur refuse de monter et plafonne à 172 alors que je me situe aux alentours de 180 voire plus sur ce genre d' exercice; j' ai l' impression de ne pas pouvoir "envoyer les watts". A mon avis il ne faut pas chercher trop loin: je suis encore fébrile, d' ailleurs j' ai de bonnes quintes de toux, pas top pour se mettre dans le rouge!

Enchaîné sans temps de repos par 14' de seuil (+ou _ 170 puls/min pour moi), ça semble presque facile en comparaison à la PMA, pardon, VMA en langage coureur, je suis plus habitué à utiliser le langage cycliste, donc ne m' en veuillez pas si même en CAP j' utilise le terme PMA (pour puissance) et non le terme VMA (pour vitesse). Soit dit en passant, PMA me semble plus juste quand on effectue les séries en côte, ce qui est la plupart du temps mon cas, car on travaille la puissance beaucoup plus que la vitesse. Si on travaille sur piste ou sur route plane, là c' est tout autre chose...  

Retour à la maison: environ 30' en endurance. Bonne sortie où j' ai bien forcé malgré les pulsations basses, 1h33, 151 puls moy et 174 puls max.