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19/03/2017

Trail des Césarines: il faut bien recommencer

Commençons par la fin: je suis un peu moins en forme que l'année dernière à la même époque, car le 12/03, j'ai mis 3' de plus sur le trail des Césarines (parcours identique) qu'en 2016, et je me situe plutôt dans les profondeurs du classements: je finis 19 ème contre 7 ème l'année dernière. Je sais bien que j'ai pris un an mais quand même...

Plus sérieusement, il n'y a pas de secret: je suis sans doute un peu moins entrainé, de toutes manières à cette époque de l'année c'est toujours compliqué pour moi, mises bas en février-mars obligent...

Bref: je ne suis pas tout-à-fait au contact pour un top 10, mais je ne suis pas très loin, en m'entrainant de manière régulière ça peut gazer, et ce peut-être dès ma prochaine course, à savoir le 2/04 lors du trail d'autoire... Je vous tiens au jus!

Allez, je livre mes impressions en faisant un petit retour sur la course de dimanche dernier...

Samedi, veille de la course, il a bien plu, le terrain va être boueux et glissant: je suis presque content, car j'aime quand c'est "pourri"...

Le dimanche matin, il se remet à crachoter, mais rien de méchant, juste histoire d'entretenir un peu la gadoue...

Echauffement de 24' sous une pluie fine, je mets le vêtement de pluie. A la fin, trois accélérations rapprochées de 10-15", je trouve que le moteur se débloque plutôt bien...

La pluie s'arrête en fin d'échauffement: j'enlève le K way, change de tee shirt, en enfile deux + les manchettes (en fait j'aurai mis une épaisseur de trop, c'est tout moi: j'ai toujours peur d'avoir froid); et direction la ligne de départ.

Salut aux connaissances, petites discussions, et c'est parti pour la "dépouille"!

Dépouille, c'est le mot, car dès le départ je suis en souffrance: quelques hommes se détachent, moi je suis à la fin du gros paquet qui suit. Les puls sont déjà à 178 dans la première côte, rien d'affolant pour moi sur un 13 km, mais je me sens au taquet, si j'accélère je saute.

On enchaîne quelques coups de culs et descentes, avant d'attaquer le gros morceau: la grimpette sur le plateau des Césarines.

Les places sont plutôt figées: j'ai dû doubler deux personnes pendant que deux autres m'ont passées, et j'estime que j'ai une vingtaine de gus devant moi.

 

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