visites par jour

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/07/2014

Semaine d'avant course

-Lundi 7/07/14 AM: home trainer vélocité-force (12 à 45 rpm). 0h32, pas de cardio.

-Mercredi 9/07/14 PM, cap endurance, 0h31, 134 bpm moy, 148 bpm max, sur le plat.

-Mercredi 9/07/14 PM: vélo de route longue sortie, avec les nouvelles roues, je sens vraiment une différence de rigidité en relance et en côte. Il faut dire que les anciennes, des Mavic Axium, avaient quelque chose comme huit ans, increvables... J'avais juste changé le cercle arrière, dont les flancs étaient creusés par les innombrables freinages... elles étaient donc amorties! J'ai notamment fait 15' en 30"-30" (1' à la fin), dans la côte Meyssac-Lagleygeoles, content quand ça s'arrête. La suite de la sortie fût bien accidentée, histoire de reproduire un peu la course de dimanche... 3h26, 133 bpm moy, 175 bpm max, et... 84,23 km, j'ai enfin mis un compteur sur mon vélo de route! Ce qui ne fait pas une moyenne d'enfer, mais ce n'est pas du tout un critère pour savoir si j'ai fait un bon ou un mauvais entrainement. Pour progresser, je préfère en effet de loin me focaliser sur des blocs ou des séries dures, récupérer, relancer, plutôt que de rouler comme un métronome, assez vite tout le temps mais jamais à bloc, à la "cyclotouriste" en quelques sortes(!), ce qui a pour seul effet de créer de la fatigue et accessoirement une stagnation du niveau, voire une régression.

Par rapport à la Granit Montana, j'arrive mieux préparé sur la Lily Bergaud. Pour autant, je ne me fixe aucun objectif, ni de temps ni de classement, car sur une cyclo, je suis vraiment dans l'inconnu, et n'ai pas de repère. C'est vrai que je m'y étais un peu essayé il y a quelques années, avec peu de réussite d'ailleurs (alors que je "marchais" pas mal en VTT et CAP), mais avec du plaisir et l'envie de recommencer. Puis mon engouement pour courir est allé crescendo, alors je me suis laissé aller et ai mis de côté le vélo de route. On ne peut pas tout faire! C'est vrai, il faut toujours pédaler, mais l'effort n'est pas le même: en vtt, on récupère peu, en cela ça ressemble beaucoup au trail, on fait un genre de contre-la-montre en quelques sortes, et le plus fort gagne, peu de place pour la actique. En vélo de route, ça se passe surtout par à-coups, avec des moments où il faut serrer les dents por ne pas être laché, et des moments où on s'abrite. Par contre, si on laisse échapper "la bonne", c'est très dur de revenir sur un groupe qui nous précède. N'ayant pas d'expérience à ce niveau, je ferai ce que je pourrai!  

Les commentaires sont fermés.